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Avant que des ovaires ne cessent definitivement de fonctionner, ils traversent une periode plus ou moins longue durant laquelle ils connaissent des petits rates.

Avant que des ovaires ne ces<div style="text-align:center; border:1px solid #CCC; margin:20px 0; padding:20px; font-size:24px;">Place for ADS</div> sent definitivement de fonctionner, ils traversent une periode plus ou moins longue durant laquelle ils connaissent des petits rates.
Comme un moteur qui tousserait! «Ces dysfonctionnements sont variables par rapport aux jeunes femmes, minimes chez nos unes, reellement prononces chez d’autres», constate le Dr Florence Tremollieres, gynecologue et endocrinologue. «On assiste le plus souvent a un deficit de production de progesterone, du fait en qualite mediocre de l’ovocyte produit qui n’arrive jamais au stade de l’ovule. Associe a une secretion d’?stradiol assez anarchique, mais qui a plutot mode a se retrouver en exces avec rapport a J’ai progesterone deficitaire», poursuit-elle. L’equilibre entre les deux hormones est donc totalement deteriore, provoquant des symptomes incommodants. Notamment des regles irregulieres avec souvent votre raccourcissement des cycles et un syndrome premenstruel parfois severe (gonflement des seins, du comment s’inscrire sur hornet bide, des jambes, irritabilite, troubles du sommeil).

Un programme hormonal, deja?

Plutot que de subir, en attendant que vos hormones en finissent avec cette anarchie, rien ne vous empeche de remettre un tantinet d’ordre. «c’est possible pourquoi pas de prendre un derive de la progesterone dix jours avec mois, du 15e au 25e jour du cycle, periode ou elle reste habituellement secretee. Et si cela ne suffira nullement a eliminer des symptomes, on peut se servir de 1 progestatif pendant vingt jours, du 5e au 25e jour: il bloquera la commande centrale de l’ovaire et provoquera une forme de menopause chimique. Il va i?tre aussi parfois utile d’adjoindre une bri?ve dose d’?stradiol par les bras pour empecher des indices de menopause qui pourraient survenir, comme des bouffees de chaleur via exemple», explique le Dr Tremollieres.

• Contraception: on s’informe

Entre 45 et 50 ans, une grossesse demeure possible: nullement question donc d’effectuer l’impasse sur la contraception. En dehors des solutions mecaniques tel le preservatif ou 1 spermicide, vous pourrez opter pour un sterilet. «A cet age de la life, on choisit souvent 1 sterilet au levonorgestrel (un progestatif ). Cela a l’avantage de coder une amenorrhee: dispensees de leurs regles, ces dames echappent ainsi a toutes les cycles anarchiques et au syndrome premenstruel», avance la gynecologue.

Et la pilule, faut-il l’arreter?

Apres 45 ans, il n’est gui?re recommande de continuer une pilule ordinaire ?stroprogestative: absorber des ?strogenes par voie orale expose a 1 risque thromboembolique. «on va pouvoir en revanche se servir de une pilule microprogestative, ne contenant qu’un progestatif seul. Mais diverses femmes la tolerent assez en gali?re (prise de poids, acne). Et plus on se rapproche du moment ou l’ovaire va de­finitivement arreter de fonctionner, moins une telle pilule reussit a optimiser nos troubles du cycle» souligne-t-elle.

• Alimentation, gare a toutes les derapages!

«Dans ce moment perturbe, diverses femmes pourront presenter des petits troubles du comportement alimentaire: une tendance a chercher du reconfort dans la nourriture, bien specialement les aliments sucres», observe le Dr Jean-Michel Lecerf, medecin nutritionniste, auteur de Notre Surpoids, c’est dans la tete ou dans l’assiette (ed. Quae).

Pour limiter les grignotages intempestifs et l’installation de kilos qui pourraient s’averer difficiles a perdre, deux strategies s’offrent a vous. Essayer d’occuper votre esprit a nouvelle chose i  l’instant ou Notre pulsion survient: boire votre the, telephoner a une amie, vous plonger dans un roman. Ou bien tester la emplie conscience (la technique consiste a se concentrer sur ses emotions, ses sensations, ses pensees… une solution recommandee avec des etudes nos plus nouvelles). «Entrer dans une lutte infernale pour vous empecher de craquer a tout prix installera en vous tension et frustration, cela n’est nullement ideal. Assumez plutot votre besoin de vous apaiser grace a les aliments: choisissez votre aliment qui vous fait vraiment bonheur et degustez-le en vous offrant un moment agreable. Asseyez-vous dans un endroit calme, prenez moyen Afin de cette pause, mettez-vous a l’ecoute de ces sensations i  l’instant ou vous croquez le carre de chocolat, di?s qu’il fond via votre langue et libere ses aromes», propose le Dr Lecerf. Cela s’avere que les «craquages» bien maitrises sont ­ enfin assez peu nocifs en termes de prise de poids (a condition de ne point les multiplier!). Attention aussi a la tentation de l’alcool dans votre phase quelque peu troublee d’la vie. Gardez a l’esprit le mantra magique: gui?re plus de deux verres par jour et nullement l’integralite des journees.

Activite physique, 1, 2, 3, partez!

Vous avez laisse tomber le sport depuis des annees ou n’en avez pas fait ? N’attendez plus Afin de vous y (re)mettre. «L’activite physique constitue une cle majeure Afin de traverser parfaitement une telle phase charniere. Elle permet de lutter efficacement contre la deprime et la fatigue, ameliore le sommeil, procure 1 vrai bien-etre physique et psychologique», encourage le Dr Jean-Michel Lecerf. Mais attention au piege de considerer le sport seulement comme un bruleur de calories! Ce serait la a ouverte a de pesants calculs d’apothicaire: j’ai craque pour un gateau, dorenavant j’dois «payer» et pedaler tant de minutes! Inutile de creer de toutes pieces un trouble qui rajouterait une difficulte supplementaire.

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